jeudi 24 octobre 2013

Attention à la tension!

Quand on se lance en éthologie, on se rend compte qu'on est très pataud avec son corps! On n'a pas toujours conscience de nos petits gestes et mouvements. Souvent, on recule, on piétine sans s'en rendre compte, mais le cheval, lui, a bien perçu notre petit pas en arrière quand il en faisait un petit en avant!
Il y a aussi la tension que l'on met dans notre corps et dont nous ne sommes que très rarement conscients. C'est seulement lorsque nous relâchons cette tension que nous nous rendons compte qu'elle était présente. Je m'en suis rendue compte en conduisant ma voiture! Au feu rouge, j'avais l'habitude de maintenir ma main droite sur le volant, donc bras droit tendu, et de tenir le levier de vitesse de la main gauche. Un jour, au lieu de me tenir dans cette position, j'ai tout lâché et posé mes mains sur mes cuisses. C'est incroyable la différence! Déjà, au niveau du corps, j'ai senti que le simple fait d'avoir le bras tendu générait une tension (pourtant, "tendu" ça veut bien dire ce que cela veut dire et c'est donc normalement une évidence!). Cette tension du bras, je ne la sentais pas; j'ai en revanche senti la différence quand mon bras s'est détendu. Et cette perte de tension au niveau du corps s'est traduite aussi dans mon esprit: au lieu de me sentir dans l'attente de voir le feu passer au vert et d'être dans l'idée de démarrer, j'étais  simplement là, dans l'instant, dans le présent, sans me projeter dans la suite de la conduite. Depuis cette petite expérience, je veille à tenir cette position chaque fois que je suis à un feu rouge! Et je crois que c'est une petite chose simple qui aide à nous rendre plus naturellement calme et serein.

                                                                    ZEN ATTITUDE!

Ce test peut se trouver aussi lorsque l'on est avec son cheval. Lorsqu'on lui accorde une pause parce qu'il a bien répondu à une demande, il faut veiller à ne faire passer aucune tension dans notre corps car la sensibilité du cheval lui permet de la capter. Ainsi, quand on se met en position "pause", je crois qu'il faut faire attention à la tenue de ses bras. Souvent, on tient un objet (stick, longe, licol) et du coup, on reste le bras plié pour tenir l'objet: d'où une tension dans le bras! Je veille toujours à laisser aller mes bras le long du corps pour éliminer cette tension, en faisant attention à ce que le stick soit dirigé vers le sol (pour éviter une pression involontaire).


Ce sont là des petites choses, mais c'est en prenant garde aux petites choses que l'on parvient à trouver cette nouvelle nature que le cheval attend de nous.
Lorsque j'avais fait le stage avec Jean-François Pignon, il m'avait demandé de faire un crescendo par terre (crescendo= agir avec le stick de plus en plus fort). Je m'aperçus que plus j'allais fort, plus mes dents se serraient! C'était complètement involontaire mais cela reflète bien que nous ne sommes pas toujours conscients de la tension que nous mettons dans nos gestes. C'est sûrement ma nature humaine qui me faisait serrer les dents en augmentant la pression, la première étape est donc de s'en rendre compte, la seconde étant de la corriger: l'idéal étant de pouvoir monter un crescendo sans une once d'agressivité mais en restant dans le même état d'esprit calme et neutre du début à la fin. C'est un apprentissage, un travail sur soi-même.

lundi 21 octobre 2013

Un article dans l'Est Républicain du 19 Octobre 2013

J'ai rencontré Aude Lambert, une journaliste de l'Est Républicain-Le Pays de Montbéliard qui m' accordé un bel et grand article dans le journal. Aude a monté un cheval en club durant quelques années avant d'arrêter, suite à une chute et une jambe cassée. J'ai senti que cela lui faisait du bien de parler chevaux et je ne serais pas surprise qu'elle se laisse à nouveau prendre au jeu!



Et sur la photo, on reconnaît bien  sûr ma petite Sussule!
En réalité, elle s'appelle Ursule et je viens d'apprendre aujourd'hui que cela voulait dire "Petit Ours". Est-ce qu'elle ressemblait à un petit panda en peluche lorsqu'elle est venue au monde et que cela a inspiré son naisseur?
J'ai pris l'habitude de faire attention au nom des chevaux: ils leur correspondent souvent bien. Je ne savais pas cela quand j'ai acheté un "Ouragan"!!
Vous êtes-vous déjà fait la même remarque?


dimanche 20 octobre 2013

Un beau cadeau de mon Nounou…


Cet été, à cause de la canicule, les chevaux passaient la plus grande partie de la journée au manège pour se protéger de la chaleur et des mouches. Avec Fany, on passait beaucoup de temps avec eux, juste comme ça. Et quand c’est juste comme ça, les chevaux viennent à nous et ça fait du bien de sentir qu’ils cherchent notre compagnie ! Je me souviens d’une fois où Unique s’était approchée la première et j’étais donc à côté d’elle quand Sussule chercha à attirer mon attention en réalisant un exercice qu’on avait vu la veille : passer sur une rangée de pneus (et avec Sussule, cet exercice à priori des plus simple a vite fait de se compliquer !). 

C’était vraiment amusant de la voir ainsi chercher à se rendre intéressante ! Plusieurs fois déjà, quand je montais mon Nounou dans la petite carrière, elle montait toute seule les antérieurs sur le pédestre pour ne pas que j’oublie sa présence ! Parfois même, elle y ajoutait une jambette des plus réussies ! Sacrée Sussule, il faut te suivre !!



Plusieurs jours d’affilée, je travaillais les deux pépettes l’une après l’autre au pas espagnol. J’avais installé un couloir dans la longueur du manège en posant une barre au sol pour canaliser ma Sussule qui a tendance à partir en crabe. Bien sûr, quand je travaille l’un d’eux, les autres sont toujours très intéressés ! C’est parfois même encombrant, mais, d’un autre côté, leur présence rassure celui qui travaille. Mon Nounou était un fidèle spectateur des pépettes qui progressaient au pas espagnol  et qui recevaient chaque fois toutes mes félicitations.

 Et les félicitations, Nounou aime ça ! A un moment, le voilà qui lève l’antérieur comme pour une jambette : je fonds en des « c’est bien mon Nounou, t’es le meilleur ! ». Alors mon Nounou recommence encore et encore, avec à chaque fois toute mon admiration ! Il était juste en train de me dire que lui aussi il savait faire ! Alors, quand j’en ai eu fini avec les pépettes, je lui mis le licol pour voir s’il serait aussi volontaire quand je lui demanderais de le faire. Le résultat, comme je m’en doutais, fut peu probant…Alors je le mis devant un pneu, sachant que ça l’amuserait plus de lever la jambe pour aller toucher l’objet, et ça a marché ! Alors on a fait ailleurs que devant le pneu, et ça a marché aussi ! J’ai aussitôt arrêté car je sais qu’avec mon Nounou, il ne faut pas abuser des bonnes choses ! Mais quel plaisir parce que c’est lui qui m’a proposé de jouer à cela ! Je n’aurais même pas pu l’imaginer ! Alors, bien sûr, les jambettes de mon Nounou ne décollent vraiment pas haut mais, de sa part, c’est déjà tellement ! Et puis, ça viendra quand j’oserai lui en demander plus. En attendant, il m’a fait là un énorme cadeau ! Et depuis, je m’aventure à lui demander deux, trois petites choses, me contentant toujours de peu (certainement d’ailleurs de trop peu !) mais c’est un plaisir que de l’inclure dans mes jeux avec mes cocos.


Comme les chevaux s’observent les uns les autres, même le gros Voyou simule une jambette lorsqu'il vient à la porte de la sellerie pour gagner un bonbon (puisqu’ils savent bien où ils se trouvent !) mais il a trouvé plus pratique de reposer le pied sur la marche de la sellerie ! Comme quoi, ils sont tous bien assez malin pour avoir compris que ce geste plaisait et qu’avec ça, on pouvait gagner des choses ! Pourtant, je ne récompense jamais au cours du travail, toujours en fin de séance, car je trouve que l’appât des friandises vient gâcher le travail car ils ne s’occupent plus que de cela ! Donc en conclusion, les chevaux sont gentils et malins ! Et mon Nounou est un amour !




lundi 14 octobre 2013

Nounou monté classique

C’est au printemps 2011 que je me suis lancée dans le travail à pied avec ma Sussule. Et c’est à ce moment-là que je me suis mise à adorer cette discipline. Je passais des heures avec ma Sussule et, du coup, j’avais délaissé mon Nounou. Je ne pensais pas qu’il en souffrirait puisque de toutes les façons, il avait déjà toute une bande de copains équidés. Mais, avec le recul, je pense sincèrement que c’est le fait de l’avoir délaissé qui l’a rendu, à cette époque, très difficile avec moi. ....

Dès que je lui demandais la moindre chose comme sortir de la pâture, il me regardait d’un air mauvais et menaçant, semblant toujours être à deux doigts de l’agression. Et il n’hésitait pas à appuyer son message en tournant son beau petit derrière vers moi ! Avec Oura, c’était donc devenu limite…Et comme je progressais avec Sussule à pied, j’ai voulu faire pareil avec lui, histoire de renouer de bons contacts. Mais mon Nounou n’est pas ma Sussule…La première séance, il l’a passée debout au bout de la longe…Les suivantes, il se traînait lamentablement, semblant juste me signifier combien il s’ennuyait avec moi…La situation devînt vite conflictuelle et j’avais du mal à aller le rencontrer sans un mauvais a priori ! Quand j’essayais le jeu des pressions, j’avais l’impression d’être arrivée à la phase 50 pour le déplacer alors que lui se moquait bien de mes tentatives !







Je me suis laissée user par mon Nounou et son mépris ! Alors, je suivis mon pressentiment qui me soufflait de régler les problèmes relationnels à cheval et non à pied. Car à cheval, je n’ai jamais vraiment rencontré de difficultés car j’avais su m’imposer dès le début. Bien sûr, il me teste souvent, trouve des parades comme se sauver sur l’épaule ou se coller à la jambe, mais c’est de bonne guerre ! Et, effectivement, en reprenant des séances montées et surtout, en ne le négligeant plus comme je l’avais fait quelques mois, mon Nounou est revenu à de meilleures intentions…ouf ! On l’a échappé belle !


Aujourd’hui, j’utilise avec lui quelques exercices à pied dont je sais qu’ils me serviront directement à cheval : le jeu des pressions notamment. Et, surtout, j’utilise des principes que l’on applique à pied lorsque je suis à cheval. Parce que le mode de fonctionnement du cheval et la « logique » à appliquer reste la même à pied ou à cheval ; seule l’application peut différer. Et cela porte ses fruits ! Pour mon plus grand bonheur ! Et aussi celui de mon Nounou, je pense, car je n’oublierai jamais cette impression qu’il m’avait laissée le jour où je lui avais enlevé le filet pour la première fois. (Voir article « Nounou en cordelette » et sa vidéo).

                                                        

Mais, même avant d’en arriver à cela, je sens bien qu’il est décontracté, bien dans sa tête et amical. 
Il a appris à gérer tout seul le confort-inconfort puisqu’il s’auto-récompense en repassant au pas dès que je lui dis « Ooouuuiii » parce qu’il a bien répondu !! Trop malin mon Nounou, surtout pour s’économiser !!


Je vous propose une petite vidéo pour vous montrer comme il est beau mon Nounou ! (pardon ! Je ne peux pas m’empêcher !!!). Pour vous montrer, donc, comme il est possible d’avoir un cheval bien en place avec une embouchure toute douce et des rênes trois fois trop longues. (Je fais partie de ceux qui n’aiment pas toucher à la bouche de leurs chevaux…).

                                                      Nounou monté classique

Miniature

dimanche 6 octobre 2013

Sussule


C’est parce que le débourrage de ma petite Sussule n’a pas été concluant que j’en suis venue au travail à pied et tout particulièrement au travail en liberté. Alors, je ne la remercierai jamais assez d’avoir refusé un jour d’être un cheval de selle ! Car sans elle je n’aurais jamais goûté à tous ces plaisirs nouveaux et ces sensations merveilleuses que procurent les séances à pied. Si elle s’était laissé monter sans problème comme sa petite sœur Unique, je n’aurais sûrement pas cherché plus loin et j’aurais continué à faire ce que j’avais toujours fait, c’est-à-dire des petites séances sur le plat, de dressage, d’obstacles de temps en temps et des balades. En m’obligeant à rester à pied, Sussule m’a conduite dans un autre univers et a transformé toutes mes relations aux chevaux. 

C’est aussi grâce à elle que toutes mes recherches se sont dirigées vers la compréhension du mode de fonctionnement du cheval et de l’approche qu’on pouvait en avoir. C’est donc grâce à elle (et à mon Nounou aussi !!) que j’ai écrit mon livre. Alors, quand elle me fait devenir chèvre parce qu’avec Sussule, c’est toujours deux pas en avant et trois en arrière, alors je pense au chemin que j’ai fait grâce à elle. Je lui dois beaucoup !





Sussule aime la liberté, elle aime savoir qu’elle peut fuir quand elle veut. Mais elle choisit de rester avec moi car elle a aussi appris à aimer nos séances. Avec Sussule, on peut rester deux heures ensemble sans qu’elle ne trouve le temps long. Et il arrive aussi que les séances traînent en longueur parce que Mademoiselle se met à paniquer pour un exercice qu’on a déjà vu 100 fois ! Elle est comme ça Sussule, toujours à me rappeler que rien n’est jamais acquis, toujours à me rappeler qu’il faut déjà percevoir le monde comme elle le perçoit elle…et là, j’avoue que parfois je n’y comprends plus rien : difficile à suivre ma Sussule ! Et c’est fatigant parfois…c’est là qu’il ne faut pas tomber dans le découragement, ni dans l’agacement d’ailleurs ! Mais elle est tellement attachante que je lui pardonne tout ! Sussule, c’est un nom de clown qui lui va bien. Et c’est avec ce charme et cette bouille-là qu’elle me roule dans la farine comme elle veut !




Souvent, on joue dans la pâture mais on n’a pas de lieu prédisposé : ce peut être n’importe où, n’importe quand ! Selon le temps dont je dispose, la météo, l’endroit où on se trouve… C’est l’avantage du travail à pied : pas nécessaire de prendre le temps de passer un coup de brosse et pas de temps à consacrer à seller. Cela permet de passer de bons moments même quand on a que quelques minutes devant soi ! Alors, on répète nos pas latéraux, notre « stick to me » (suis-moi), nos reculers, notre pédestre, nos jambettes et dernièrement le pas espagnol et la révérence.

Pour découvrir Sussule sur le pédestre, cliquez ici

Et pour une petite séance traditionnelle, cliquez là

samedi 5 octobre 2013

Fany et Unique


Depuis ce printemps, Fany s’occupe d’Unique, un peu à pied, un peu à cheval. J’avais débourré Unique lorsqu’elle avait deux ans et demi, m’en était occupée les six mois suivants puis, faute de temps, n’avait pas vraiment suivi le travail commencé. Mais la petite ponette est tellement sympa que, même sortie du débourrage, elle convenait déjà à de jeunes cavaliers, que ce soit pour partir en balade ou pour être montée dans la carrière. Pour le travail à pied, j’avais amorcé le principal et Fany a repris le flambeau. 


Unique est unique ! Elle cherche toujours à faire plaisir et à répondre favorablement à nos demandes ; ce qui ne lui empêche pas d’avoir son petit caractère ! Elle s’agace facilement mais nous avons su utiliser ce trait de caractère pour lui apprendre la jambette, le pas espagnol et dernièrement le cabré. Mais cet agacement face au stick (ou à tout ce qui bouge devant elle) ne doit être utilisé qu’au tout début de l’apprentissage, pour l’aider à comprendre ce que l’on attend d’elle. Après, il faut vite revenir à l’apprentissage classique du confort-inconfort, car on sait que l’on obtiendrait des résultats juste en l’agaçant, mais ce n’est pas notre manière de voir les choses ! Il faut que les choses se fassent dans le contrôle de part et d’autre et que tout reste un plaisir et non une source de stress.



Quand Fany a su que j’avais enlevé le filet à mon Nounou pour le monter dans la carrière, elle n’a pas résisté à la tentation  d’essayer la même chose avec Unique ! Et tout s’est très bien passé : Unique, comme mon Nounou, avait l’air de remercier son cavalier de lui accorder ainsi sa confiance.

vendredi 4 octobre 2013

Fany et Titou

Un petit tour du côté de Fany avec son poney Titou. Je l’admire d’avoir pu commencer quelque chose avec ce poney car, au début, bonjour la motivation ! Quand il la voyait arriver, il avait pris l’habitude de se coucher pour éviter que Fany lui demande quelque chose ! Ca en dit long sur le personnage ! Il fallait un moral d’acier pour le mettre en avant car Titou a la capacité de se fermer à tout ce qui l’ennuie et de faire comme si vous n’étiez pas là à essayer de faire quelque chose…Il n’a peur de rien, ne redoute rien, il est le roi du monde, ce petit ! Je crois qu’il a fallu surtout beaucoup d’amour pour démarrer ces séances de travail à pied avec une bonne dose d’énergie en plus !




Au départ, Fany a dû énormément travailler le respect car le petit ne savait pas ce que c’était et il avait vite fait de déborder. Aujourd'hui encore, Fany ne laisse rien passer car il la teste souvent à ce niveau-là, prêt à s’engouffrer dans la brèche ! Puis, petit à petit, il a appris à prendre goût aux séances, pris plaisir à faire plaisir et appris à apprendre. Car, plus on apprend des choses à son cheval (ou poney), plus il sait que lorsque vous agissez d’une certaine manière, c’est que vous êtes en train de lui demander quelque chose et que vous allez le guider dans la réponse à trouver.



Fany travaille avec Titou depuis un peu plus d’un an, mais l’hiver, ils n’ont quasiment rien fait, faute à la météo et à la gadoue qui a persisté plusieurs mois durant. Malgré cela et un planning de séances très irrégulier, ils avancent bien ensemble et Titou fait craquer tout le monde, car c’est un petit poney de cirque, un petit caïd qui aime rouler des mécaniques et se montrer !

Je vous propose aujourd'hui un aperçu de ce qu’ils font ensemble au travers d’une petite vidéo.



jeudi 3 octobre 2013

Oura en cordelette, la suite…

Après avoir connu cette sensation merveilleuse de monter en cordelette, je n’ai eu qu’une envie : recommencer ! Alors j’ai testé mon Nounou au slalom et à l’obstacle. C’était extra. Oura est hyper détendu, très à l’écoute et attentif à mes demandes. Je dois encore travailler le contrôle de la vitesse de l’allure : j’ai vu pour le slalom que la difficulté était surtout de maintenir un petit trot de travail pour réussir à passer les cônes facilement. Mais j’étais déjà contente du résultat pour dire qu’on se testait à ce nouveau partenariat. Pour l’obstacle, bien sûr, ce n’était pas haut (peut-être 70/80 cm), mais le plaisir était de sentir Oura volontaire et se prêtant si gentiment au jeu. C’était formidable !





Prochaine étape : monter en cordelette dans la pâture où l’espace est beaucoup plus grand que dans ma carrière. Ce sera déjà une belle étape franchie ! Et l’ultime objectif : monter sans rien, même plus de cordelette…Mais on n’en est encore pas là ! Et avec les vacances qui ont pris fin, les séances avec mon Nounou vont se faire à nouveau rares…J’espère conserver ce à quoi j’ai goûté cet été ! Car je sais bien qu'il faudra faire aussi avec l'humeur du jour de mon Nounou!




Voici des extraits de ces séances : Oura au slalom en cordelette